Le mal en elle de Matthieu Biasotto

Couverture Le Mal en elle

Résumé

En fuyant la France vers le désert andalou, Prisca espère une trêve, loin de ses démons. Loin des disparitions. Au cœur d’un village isolé, dans une communauté très particulière, elle cherche des réponses quant au syndrome qui fait de sa vie un enfer. Mais elle s’est trompée : impossible de faire machine arrière. Ici tout le monde la déteste, elle ne peut compter que sur cet homme étrange. Un homme aux lourds secrets. D’où viennent ses cicatrices ? Que fait-il ici ? Qui est-il exactement ? Et surtout… est-ce qu’elle pourra quitter cet endroit un jour ? Rattrapée par l’ombre d’un Mal dépassant les frontières, Prisca va découvrir, dans toute sa brutalité… la vérité.

Mon avis

Avant d’acquérir l’intégrale de l’auteur, j’avais profité d’une promo pour acheter Le mal en elle. Bien que l’histoire m’ait moins emballée, j’ai confirmé mon appréciation sur l’écriture et le style de l’auteur.

L’ambiance du roman est assez angoissante et l’auteur sait faire monter le suspens jusqu’au bout. L’héroïne, Prisca, est fascinante, cabossée par la vie et elle va encaisser de sacrées épreuves tout au long de l’histoire jusqu’au dénouement final… et quel dénouement !

Je laisse volontairement plané le mystère et vous invite à découvrir plus amplement l’histoire par vous-même. J’ai peur de trop en dire 😉

Conclusion

A nouveau, un thriller étonnant de Matthieu Biasotto même si l’histoire m’a moins emballée que les autres lues précédemment.

Quelques mots sur l’auteur

C’est difficile de se définir, encore moins simple de trouver une présentation sympa et de rendre le tout digeste. Alors pour que ce soit intéressant et un peu différent d’une bio « officielle », il va falloir un miracle. Le mieux, c’est sans doute de te parler comme si je t’avais en face, autour d’un café. Un soupir, je me demande par quoi commencer. Je me lance. Toulouse, cuvée 83, même en remontant dans mes plus vieux souvenirs à Saint-Cyprien, j’ai toujours fait trois choses : dessiner, me raconter des histoires et me débrouiller pour avoir invariablement une main ou un pied dans le plâtre. Artiste, rêveur, cabossé… C’est un bon résumé…

Voilà comment commence le portrait de Matthieu Biasotto par lui-même sur son site internet. Pour lire la suite, c’est par ici

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